Jeanne Reuter est née à Metz le 27 juin 1884. Son père Jean-Nicolas Reuter né en 1854 à Bofferdange au Luxembourg a émigré en France. Il y a épousé Apolline Clause née à Ogy-Moselle. Le couple a eu 7 enfants. Jeanne a épousé Albert Calmes (1881-1967) à Metz en 1908. Trois enfants sont nés de leur union : Jean, Christian et Paul Calmes. Jeanne Reuter est décédée à Luxembourg le 14 mars 1965.
Elisabeth Calmes, née à Luxembourg en 1947, diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art , E.N.S.A.A.M.A./ Paris, artiste-peintre, petite-fille de Jeanne Reuter, a tenté à travers ce volume de révéler au public le talent de peintre de sa grand-mère, de percer sa personnalité, de découvrir la femme.
RTL KULTUR NEWS - NI ZRÉCK OP LËTZEBUERG KOMM
Lëtzebuerger Mamm-Duechter-Kënschtler-Duo lieft zu Paräis
Le titre à lui seul révèle le contenu de cet ouvrage.
De mon atelier de peintre mon regard est irrésistiblement aspiré par le dehors :
les toits de Paris, la rue grouillante, les multiples destins, parfois tragiques, qui s’y révèlent.
Joie, misère, et souffrances s’y côtoient.
Ils animent mes pinceaux.
Elisabeth CALMES
CHACUN...
RESONANCES...
CHACUN... est le titre donné à ce recueil.
CHACUN porte un regard particulier sur les événements qui font l’actualité des dernières années, dont les œuvres présentées ici sont les tranfigurations.
Pour CHACUN de nous, ces événements ont une autre couleur, une autre signification, un impact différent.
CHACUN aussi porte un regard singulier sur mes tableaux.
PERIODE DE CONFINEMENT 2020
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Le nouveau livre de
Elisabeth Calmes & Tsvetan Dobrev
parution prévue fin 2020
HAÏKU - pictural musical
incluant une vidéo présentation
des oeuvres d'Elisabeth Calmes et de la musique de Tsvetan Dobrev,
interprété au piano par Annini Tsiouti
S’inspirant de la forme poétique du Haïku japonais, la peintre Elisabeth Calmes et le compositeur Tsvetan Dobrev ont initié un travail en commun où couleurs et sons se répondent en résonance.Le minimalisme du Haïku se trouve ici transposé dans le jeu interactif du son et de la couleur.
Qu’est-ce qu’un Haïku, au juste ?
Son minimalisme est issu de la tradition poétique japonaise : une forme très brève, codifiée - dix-sept syllabes en trois vers (5-7-5). Avec le presque rien il suggère le tout.
De quelle manière la peinture peut-elle rendre ce minimalisme, s’interroge la peintre Elisabeth Calmes ?
« Avec des fragments de formes, des éclats de couleurs visant par-delà eux-mêmes. Un rêve d’unité jamais atteint, par essence imaginaire, tendu vers un point de mire se dérobant à l’infini. L’instantané, le geste rapide, le concis créent l’émotion… »
Pourquoi «L’insoutenable légèreté…» devrait-elle rester confinée à l’écrit, se demande le compositeur Tsvetan Dobrev ?
« Dans cette interaction entre le son et la couleur, nous cherchons le ressenti du Haïku: visionner les sons et faire résonner l’image, par le geste du pianiste, par l’émotion qui dépasse la pensée. Ces miniatures, telles des morceaux de miroir brisé où un monde complet se reflète, représentent un premier degré de perception. L’enchaînement des morceaux tend progressivement vers une perception globale. Les espaces de silence entre les fragments cassés ouvrent au mystère de l’indicible, à l’espace-temps d’un monde multidimensionnel… »
Livre d'Elisabeth Calmes paru en mars 2017
Jean-Nicolas Raus (1876-1926)
Ingénieur luxembourgeois en Russie et en Pologne
Quelles furent les raisons qui ont conduit Nicolas Raus, jeune ingénieur luxembourgeois formé à Aix-la-Chapelle, à partir en Russie puis en Pologne travailler dans l’industrie pétrolière ?
Quel a été l’impact de son engagement, de sa vie professionnelle et de sa disparition précoce sur les siens ?
En 1919, chassé par les bolcheviks, appauvri, il ramène sa famille au Luxembourg dans une fuite aventureuse.
Ne cédant pas au découragement, il repart en Pologne où son expérience industrielle et commerciale dans l’industrie pétrolière lui vaudront une réelle autorité.
Quelques années plus tard, un destin contraire mettra fin à ses projets en pleine expansion.
Contraint à l’abandon par une maladie incurable, il retourne au pays natal avec sa femme et ses quatre enfants. Il y décède en 1926 à 49 ans.
Peu de carrières d’ingénieurs ont eu un développement aussi mouvementé que celle de Nicolas Raus.
Quelles furent les raisons qui ont conduit Nicolas Raus, jeune ingénieur luxembourgeois formé à Aix-la-Chapelle, à partir en Russie puis en Pologne travailler dans l’industrie pétrolière ? Quel a été l’impact de son engagement, de sa vie professionnelle et de sa disparition précoce sur les siens ? En 1919, chassé par les bolcheviks, appauvri, il ramène sa famille au Luxembourg dans une fuite aventureuse. Ne cédant pas au découragement, il repart en Pologne où son expérience industrielle et commerciale dans l’industrie pétrolière lui vaudront une réelle autorité. Quelques années plus tard, un destin contraire mettra fin à ses projets en pleine expansion. Contraint à l’abandon par une maladie incurable, il retourne au pays natal avec sa femme et ses quatre enfants. Il y décède en 1926 à 49 ans. Peu de carrières d’ingénieurs ont eu un développement aussi mouvementé que celle de Nicolas Raus.
En vente: Librairie Ernster - 27 Rue du Fossé, 1536 Luxembourg Librairie Ernster - Shopping Center La Belle Etoile, 8050 Bertrange Librairie Ernster - 80 rte de Longwy - City Concorde Librairie Diderich - 2 Rue Victor Hugo, 4140 Esch-sur-Alzette
PARIS - 13 novembre 2015 - en écho
VERNISSAGE DE L'EXPOSITION
"Variations sur un thème Bulgare"
d'Elisabeth Calmes à la Galerie Thuillier le 9 Mai 2015
Nouveau Livre - New Book
Résonances Bulgares - Bulgarian Resonance
d'Elisabeth Calmes
inclus dans le livre le CD des compositions de Tsvetan Dobrev
ITINERARY : Luxembourg - Paris - New York - Varsovie
d'Elisabeth Calmes
inclus dans le livre le CD de la composition pour piano Itinerary-resonance de Frederik I. Heringa
